#0032 Eddy L. HARRIS
HARRIS Eddy L., Harlem (Harlem), 1996, Liana Levi 2000, Trad. Christine Denizon
Harlem. Le seul bout de terre qui appartienne totalement aux Noirs en Amérique. Dans le bien et dans le mal. De plus en plus dans le mal. Ceci n'empêche pas le narrateur de cette chronique de retourner y vivre. Et de nous raconter, en remontant le temps.
Notes: "J'avais la sensation de marcher parmi les fantômes du passé de Harlem, d'être venu ici tout comme ils y étaient venus, comme Langston Hughes était venu et Duke Ellington était venu, et eux tous" (p.57) "En 1923 lorsque Duke Ellington y était venu pour la première fois […] On raconte que le Duke aurait quasiment rugi d'enthousiasme" (p.61) "Harlem était vraiment Harlem, temps d'avant guerre où le jazz était roi et Edward Kennedy Ellington le Grand Duc […] J'entends l'air dans ma tête sitôt que je mets les pieds dans le métro pour monter à bord de cette célèbre rame, le A Train, la musique de Billy Strayhorn, l'orchestre de Duke Ellington, la voix soyeuse d'Ella Fitzgerald" (p.99) "C'était, comme Duke Ellington s'était exclamé à son arrivée, un endroit tiré des Mille Et Une Nuits, un temps d'une surprenante animation, avec des fêtards et des noceurs incroyables" (p.115) "On avait pas la moindre envie d'y habiter, si on était Blanc, mais on voulait y aller: au Cotton Club, au Pod's and Jerry's Catagonia Club, à la Tillie's Inn, on voulait entendre l'orchestre de Duke Ellington, de Fletcher Henderson, ou Cab Calloway […] Quand nous pensons à Harlem, c'est ce mythe là qui nous vient à l'esprit, cette époque de nuits torrides et de jazz endiablé" (p.116).
Aussi cités: Ralph Ellison, Langston Hughes, J. W. Johnson, Marcus Garvey, Claude McKay, W. E. B. Du Bois, Nella Larsen, Alain Locke, Carl Van Vechten.
Harlem. Le seul bout de terre qui appartienne totalement aux Noirs en Amérique. Dans le bien et dans le mal. De plus en plus dans le mal. Ceci n'empêche pas le narrateur de cette chronique de retourner y vivre. Et de nous raconter, en remontant le temps.
Notes: "J'avais la sensation de marcher parmi les fantômes du passé de Harlem, d'être venu ici tout comme ils y étaient venus, comme Langston Hughes était venu et Duke Ellington était venu, et eux tous" (p.57) "En 1923 lorsque Duke Ellington y était venu pour la première fois […] On raconte que le Duke aurait quasiment rugi d'enthousiasme" (p.61) "Harlem était vraiment Harlem, temps d'avant guerre où le jazz était roi et Edward Kennedy Ellington le Grand Duc […] J'entends l'air dans ma tête sitôt que je mets les pieds dans le métro pour monter à bord de cette célèbre rame, le A Train, la musique de Billy Strayhorn, l'orchestre de Duke Ellington, la voix soyeuse d'Ella Fitzgerald" (p.99) "C'était, comme Duke Ellington s'était exclamé à son arrivée, un endroit tiré des Mille Et Une Nuits, un temps d'une surprenante animation, avec des fêtards et des noceurs incroyables" (p.115) "On avait pas la moindre envie d'y habiter, si on était Blanc, mais on voulait y aller: au Cotton Club, au Pod's and Jerry's Catagonia Club, à la Tillie's Inn, on voulait entendre l'orchestre de Duke Ellington, de Fletcher Henderson, ou Cab Calloway […] Quand nous pensons à Harlem, c'est ce mythe là qui nous vient à l'esprit, cette époque de nuits torrides et de jazz endiablé" (p.116).
Aussi cités: Ralph Ellison, Langston Hughes, J. W. Johnson, Marcus Garvey, Claude McKay, W. E. B. Du Bois, Nella Larsen, Alain Locke, Carl Van Vechten.
1 commentaire:
J'avais beaucoup aimé Jupiter et moi, et j'ai trouvé Harlem vraiment très intéressant. Du coup j'ai envie de lire son dernier livre, et j'aimerais vraiment que celui sur la descente du Mississipi soit traduit en français...
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