#0028 - Kleber HAEDENS
HAEDENS Kleber, Lettres de la petite ferme, 2000, Grasset
Mélange de carnet de bord, de conversations à voix haute et de notes quotidiennes. Haedens, écrivain et chroniqueur à Paris Presse, France Soir et au Journal du Dimanche.
Notes: "Nous dansions depuis minuit dans une cave enchantée par un petit orchestre de jazz, à la fois fièvreux et doux, qui jouait tous les soirs dans le style le plus jeune, celui de la Nouvelle Orleans" (p.19). Tout un chapitre qui relate une visite chez Hugues Panassié à Montauban. Avec en prime une citation de la chère Madeleine Gautier: "Ils ne trouvent pas Pannassié parce qu'ils le cherchent derrière alors qu'il est loin devant" (Sic !) (p.56-61) " Je regarde Ray Charles qui chante et s'accompagne au piano […] la voix traduit le déchirement et la douleur […] Il nous fait bien sentir, par comparaison, que la pop music n'est qu'une dégradation du jazz qui serait tombé au niveau des sensibilités les plus primitives" (p.161).
Mélange de carnet de bord, de conversations à voix haute et de notes quotidiennes. Haedens, écrivain et chroniqueur à Paris Presse, France Soir et au Journal du Dimanche.
Notes: "Nous dansions depuis minuit dans une cave enchantée par un petit orchestre de jazz, à la fois fièvreux et doux, qui jouait tous les soirs dans le style le plus jeune, celui de la Nouvelle Orleans" (p.19). Tout un chapitre qui relate une visite chez Hugues Panassié à Montauban. Avec en prime une citation de la chère Madeleine Gautier: "Ils ne trouvent pas Pannassié parce qu'ils le cherchent derrière alors qu'il est loin devant" (Sic !) (p.56-61) " Je regarde Ray Charles qui chante et s'accompagne au piano […] la voix traduit le déchirement et la douleur […] Il nous fait bien sentir, par comparaison, que la pop music n'est qu'une dégradation du jazz qui serait tombé au niveau des sensibilités les plus primitives" (p.161).
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